La bigorexie, une petite bête noire qui court, qui court

J’adore faire du sport. Je cours, je vais à la salle une fois de temps en temps, je suis mes cours de danse avec une rigueur scrupuleuse ; je n’ai jamais vu de mal à ça ! Du coup, vous ne pouvez pas savoir à quel point j’ai été choquée d’apprendre que le sport pouvait devenir une véritable… addiction ! Oui, une addiction, comme la cigarette ou le chocolat. Alors avant de paniquer et d’appeler le médecin pour vous faire examiner en long en large et en travers (comme je l’ai fait) laissez-moi vous en dire plus sur la bigorexie, cet étrange mal qui touche les amatrices (et les amateurs) de sport que nous sommes.

Non, la bigorexie ne concerne pas que les sportifs professionnels

C’est l’aspect le plus terrifiant de cette espèce de maladie. Ce n’est pas parce que vous vous astreignez à un entraînement physique extrême, type bodybuilding ou sport olympique, que vous allez nous claquer entre les doigts et devenir une machine à faire du sport au détriment de votre propre santé et de celle de votre entourage. Non, non ! Même les moins expérimentés d’entre nous peuvent, du jour au lendemain, s’enfermer dans la pratique du sport comme un dépressif s’enferme dans ses idées noires.

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Et s’il ne s’agit pas, au départ tout du moins, d’une certaine forme de dépression, la bigorexie a été étudiée sous toutes ses coutures. Or, tenez-vous bien ! Les chercheurs ont découvert que la sécrétion d’endorphines (qui se produit lors d’un effort physique) pouvait avoir sur le cerveau humain un effet d’ivresse. Non, vous n’avez pas mal lu ! Le sport rend ivre !

En quelques sortes… en réalité, c’est ce sentiment de plénitude que vous ressentez après avoir couru pendant des heures, par exemple, ce sentiment-là, auquel vous pouvez devenir accros, ni plus ni moins. D’ailleurs, je ne sais pas vraiment pourquoi, mais la course à pieds semble justement être la pratique favorisant le plus la bigorexie. Vous avez dit bizarre ?

Anatomie du mal

Rassurez-vous, chères lectrices, si vous étiez bigorexiques, vous le sauriez ! Au vu des symptômes, j’ai moi-même été rassurée ; Impossible de m’y retrouver dans ces troubles du comportement, ouf ! Mais pour ne pas vous laisser dans le noir, voici quelques-uns des signes qui ne trompent pas :

  • Vous avez constamment l’impression d’être frêle, maigre, petit(e), alors que votre carrure en impose
  • Vous commencez à angoisser quand vous ne faites pas de sport
  • Vous commencez à accumuler les blessures sportives parce que vous ne vous laissez pas suffisamment de temps pour récupérer
  • Vous vous auto-flagellez si vous n’arrivez pas jusqu’au bout d’un entraînement que vous vous étiez fixé
  • Votre journée n’est plus qu’un immense plan d’entraînement. Les heures de repas, les relations sociales, et même le sommeil vous apparaissent comme des pertes de temps
  • Vous accusez les personnes qui cherchent à vous faire prendre conscience de votre bigorexie d’être elles-mêmes trop peu enclines au sport. Vous pensez que ce sont elles qui ont un problème avec ça et non pas l’inverse

Comment s’en sortir ?

Évidemment, en apparence, ça fait très solennel de parler de la bigorexie comme on parlerait de l’alcoolisme, mais il n’empêche que les dangers sont bien réels ! Prenez l’anorexie mentale, par exemple. Elle vous force à couper tout lien physique, émotionnel et intellectuel avec le monde extérieur. Le sport devient votre seule raison de vivre. Imaginez comme la chose peut aller loin ! Parmi la gente masculine (qui pour une raison ou une autre est la frange de la population la plus touchée), certains sportifs (surtout les amateurs) ne peuvent s’en sortir qu’avec l’aide attentive, bienveillante et surtout permanente d’un professionnel, un psychologue par exemple.

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Et d’ailleurs, je ne sais pas si vous le saviez, mais la bigorexie est un état mental bien connu dans les milieux sportifs professionnels et même chez les militaires ! C’est la raison pour laquelle ces personnes en souffrent moins : elles font d’emblée l’objet d’un suivi psychiatrique qui limite les risques de surentraînement. Comme quoi, même un sportif de haut niveau ne tirera rien de bon de la dépendance au sport ! Il faut croire que ce qui nous rend meilleur est bel et bien dans l’harmonie des choses et non pas dans l’excès.

J’ai 23 ans, toutes mes dents et le clavier collé aux doigts. Ici, je parle de tout ce qui me passe par la tête en espérant transmettre des choses sympas aux curieuses que vous êtes !

    Sashiko, des petites coutures très originales

    Récemment j’ai découvert le sashiko, une technique de broderie japonaise qui me plaît énormément. Je me suis dis que j’allais vous en partager quelques secrets, pour que vous puissiez reproduire vous-même ces petites coutures originales et très décoratives.

    Avant toute chose, je tiens à préciser que cette broderie demande beaucoup de minutie : le principe est de réaliser des petits points de la « taille d’un grain de riz », donc il faut rester extrêmement concentré(e) tout au long de son travail pour ne pas risquer de faire une irrégularité dans la broderie. Alors c’est parti, tous à vos aiguilles, je vous dis tout sur cette technique de couture traditionnelle.

    Un peu d’histoire de cette broderie

    Le sashiko est né au quinzième siècle au Japon, et consiste à la base à broder un motif blanc sur un tissu de couleur indigo (bleu sombre). C’est une broderie de matelassage à l’origine, que l’on utilisait autrefois pour renforcer les épaules d’un vêtement, rendre plus chaud les épaisseurs des tissus ou encore réparer des accessoires comme des sacs de riz ou des sandales.

    Il faut souligner que les japonais ont énormément de respect pour ce qui a vécu et ce qui est ancien. Il s’agissait de coudre en points avants, avec un fil blanc épais sur un tissu bleu foncé fait à base de fibre végétales comme le lin ou le chanvre. Au 19ème siècle, on commence à coudre sur du coton.

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    Le sashiko, et son utilisation de nos jours

    Depuis, le sashiko est devenu un art plus complexe, avec des motifs très décoratifs. On retrouve donc des motifs géométriques, des dessins de plantes, d’animaux, ou encore de différents objets traditionnels (ombrelles, éventail…)

    On trouve maintenant des tissus et des fils de sashiko de toutes les couleurs, ce qui laisse beaucoup plus libre pour la création je trouve. D’ailleurs, les stylistes japonais s’inspirent parfois de cette technique de broderie ancestrales pour leurs propres créations. Si vous souhaitez un tutoriel pour réaliser un motif moderne de sashiko, suivez ce lien.

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    Comment réaliser cette broderie de « petits grains » ?

    Si la broderie vous intéresse, je vous encourage vivement à tester cette technique. On peut facilement reproduire les motifs décoratifs en dénichant des pochoirs pour ensuite décalquer les tracés sur le tissu. Personnellement je me suis rendue en boutique spécialisée, mais vous pouvez également en trouver sur les sites internet dédiées à cette thématique. Je vous conseille d’ailleurs d’aller consulter cet article très utile.

    Quelques principes de base

    Une fois que vous aurez imprimé le pochoir avec le motif que vous souhaitez réaliser sur le tissu de votre choix, je vous conseille de le décalquer sur un morceau de carton. Ensuite, il s’agit de respecter la règle numéro un du sashiko : les points doivent être extrêmement réguliers ! Ils doivent faire la taille d’un grain de riz, c’est à dire entre 2,5 mm et 5 mm environ. Plus de conseils pour réaliser votre sashiko dans les règles de l’art ici.

    Tous vos points doivent avoir la même longueur, donc une fois que vous aurez réalisé votre premier point, vous vous devrez de réaliser tous les suivants de la même longueur. N’oubliez pas de respecter le sens des coutures, en travaillant en lignes. Je vous conseille sur ce point de toujours commencer par les lignes horizontales, poursuivre avec les verticales et enfin terminer par les obliques.

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      Que faire en cas de panne électrique ?

      Une panne électrique peut se produire à n’importe quel moment. Cela m’est arrivé pas plus tard que la semaine dernière ! Il s’agit d’un problème fréquent dans une habitation, quelle que soit la raison. Vous rencontrez une panne d’électricité au sein de votre demeure, que ce soit partiel ou total, cela peut paraître toujours gênant. Il se peut que vous suscitiez à un danger au cas où votre chaudière aurait fait sauter le disjoncteur faute d’une défaillance de la machine, ou puisque l’humidité a touché une partie de vos branchements. Voici mes astuces pour bien réagir si jamais il y a une panne chez vous !

      Les procédures à suivre en cas de panne électrique

      Peu importe le problème qui affecte une installation électrique, sachez l’affronter calmement et prudemment, car cela peut devenir dévastateur, même mortel. Une fois que vous constatiez une coupure, pensez d’abord à vérifier chez le voisinage. Cela permet de savoir si la panne est générale ou locale. Si les voisins ne sont pas privés de courant, il s’agit de votre problème.

      Dans ce cas, regardez votre tableau électrique si le disjoncteur a sauté. Si cet appareil affiche une position d’arrêt, votre branchement a dû rencontrer un court-circuit, un défaut d’isolement ou une surcharge électrique. À ce titre, votre problème est limité. On procède de manière différente en fonction des types d’incidents électriques. En cas de problèmes récurrents, les travaux s’annoncent simples comme le remplacement des prises, d’un fusible grillé, des câbles endommagés, etc.

      Mais avant toute chose, on doit fouiller l’origine du problème. Au cas où le souci serait un peu plus délicat, une expertise approfondie et complète peut prendre un peu plus de temps. Néanmoins, prenez soin à ne pas toucher aux fils et appareils électriques avant une quelconque intervention.

      panne electrique

      Les pannes électriques les plus fréquentes

      Chaque type de panne dans le domaine de l’électricité suit, dans la plupart des cas, une certaine logique. Donc, pour y remédier calmement, il faut bien raisonner. Les problèmes les plus fréquents en électricité touchent le tableau électrique, notamment le disjoncteur, où un fusible a grillé faute d’une prise électrique ou d’un circuit d’éclairage. Cela peut être dû à une surcharge d’appareils ou à un court-circuit. Des prises électriques qui fonctionnent mal ou qui surchauffent anormalement arrivent à déclencher aussi le disjoncteur. Découvrez toutes les astuces.

      Faire confiance à un pro pour les travaux de réfection d’une panne électrique

      Le branchement électrique est une affaire très délicate qui pourra amener à la mort subite. Ainsi, si un quelconque problème apparaît, il est fortement recommandable de solliciter un artisan qualifié en la matière pour faire un diagnostic approfondi. Il s’occupe totalement des dépannages et des remises aux normes des différents branchements électriques, ainsi que de tous les équipements défaillants. Il a les atouts nécessaires pour réparer le circuit en entier, les détecteurs de fumée, les systèmes d’alarme, les appareils électriques, les chaudières…

      Mais il est important de savoir que certaines interventions pour des travaux électriques sont attribuées exclusivement à des experts des compagnies de distribution, à savoir tout ce qui se rapporte au compteur électrique. Pour assurer une intervention performante, profitez des services d’un électricien de confiance comme http://electricien-paris-express.com/.

       

      J’ai 23 ans, toutes mes dents et le clavier collé aux doigts. Ici, je parle de tout ce qui me passe par la tête en espérant transmettre des choses sympas aux curieuses que vous êtes !